«La plupart du combustible est sans doute tombé au fond (de la cuve sous pression), comme dans le réacteur numéro un», a-t-il précisé.
Tepco se veut affirmatif
Tepco avait déjà laissé entendre qu'une fusion s'était produite au sein des réacteurs deux et trois mais c'est la première fois qu'il se montre aussi affirmatif. Les réacteurs «subissent des opérations de refroidissement et leur condition est stable», a ajouté le porte-parole.
Pendant plusieurs semaines après la catastrophe du 11 mars, l'opérateur, comme le gouvernement, n'avait évoqué qu'une fusion partielle et affirmé que les réacteurs étaient relativement stables et les fuites radioactives dangereuses largement contenues.
Le séisme et le tsunami géant du 11 mars ont provoqué à la centrale de Fukushima l'accident nucléaire le plus grave depuis Tchernobyl (Ukraine) en 1986.
(L'essentiel Online/afp)