Des renforts militaires, soldats en armes, camions, jeeps et blindés, ont fait leur apparition dans Tunis et en banlieue pour la première fois depuis le déclenchement des affrontements que connaît la Tunisie depuis quatre semaines. Ce développement intervenait alors que des sources de l'opposition ont fait état du limogeage du chef d'état-major de l'armée de terre, le général Rachid Ammar.

«Lors du débat sur la réforme de la santé, le CSV est resté en dehors de toute polémique. Le LSAP ferait bien d'en faire autant concernant la réforme de la Fonction publique», a-t-il adressé au partenaire de coalition.

Lundi, le président de la fraction parlementaire socialiste, Lucien Lux, avait en effet fait savoir lors des vœux de la FNCTTFEL (Landesverband) que les ministres de la coalition n'avaient pas encore trouvé d'accord sur la question