- La facilité d’accès des boutons (photo en médaillon) pour choisir son mode de conduite.
- La tenue de route, ferme tout en restant confortable. Les moins - Les places arrière, très peu spacieuses, comme dans bien des coupés.
- La visibilité plutôt restreinte dans la lunette arrière.
- Les ceintures de sécurité, à aller chercher loin derrière soi.
Certes, avec ses 124 chevaux au total (essence et électrique), le CR-Z n'ambitionne pas de rivaliser avec les supercars. Mais la puissance du coupé est bien exploitée et le plaisir est au rendez-vous. D'autant que la boîte de vitesses manuelle est particulièrement précise et agréable à l'usage. Et comme c'est ce qui distingue le CR-Z des autres hybrides, toutes automatiques, on apprécie d'autant plus le soin qui a été porté à cet élément.
L'autre gros point positif est sans conteste l'efficacité et la souplesse du système «start and stop», qui coupe le moteur et le redémarre automatiquement lors des arrêts dans la circulation. Et là, il faut bien avouer qu'il s'agit d'un vrai petit bijou: il colle tellement bien aux phases du trafic qu'on pourrait croire qu'il est directement piloté par le cerveau du conducteur. C'est comme si le CR-Z arrivait à détecter le feu rouge au loin, ou une file de voitures arrêtées, et à les différencier des ralentissements qui ne nécessiteront pas de s'arrêter. Bluffant!
Côté consommation, le CR-Z se révèle très performant: lors de notre test, réalisé sur une distance de 1300 km, il a affiché une moyenne de 5,6l/100km, avec une «pointe» à 4,3l/100km, sur un parcours effectué aux deux tiers en mode «éco» et le reste en mode «sport». Quant aux tarifs, ce coupé reste dans une fourchette accessible.