En cause, deux articles publiés au nom de l'Uni et dont la crédibilité avait été mise en doute. Dans un communiqué, publié vendredi, l'université de Luxembourg précise que les données incriminées était le fait d'«un co-auteur des articles, une doctorante inscrite à une autre université», mais que ce fait ne diminuait en rien la responsabilité du professeur de l'Uni, auteur principal de ces articles scientifiques.
L'Uni assure également dans son communiqué que la commission d'enquête d'experts internationaux mandatés a conclu qu'«aucune manipulation intentionnelle des résultats ne pouvait être reprochée au scientifique». Cependant, le rapport indique que le professeur incriminé «n’avait pas encadré et dirigé son groupe de recherche et ses doctorants à Luxembourg selon les standards internationaux.»
(Jmh/L'essentiel Online)