 
L'incident, dont s'est fait l'écho lundi le site d'informations Rue89, remonte au 9 avril dernier, alors que Mme Morano, accompagnée d'un garde du corps, effectuait des courses avec sa fille de 14 ans, dans une boutique de vêtements Kookaï au Printemps de Nancy, sa ville d'origine.
Dans un communiqué, la ministre raconte qu'au moment de prendre sa pause, la vendeuse aurait crié: «Il y a Nadine Morano dans le magasin, si quelqu'un veut aller lui casser la gueule». «Profondément choquée par cette interpellation menaçante, insultante et blessante», la ministre précise avoir «demandé des excuses à cette vendeuse en rappelant le droit au respect pour tout client, quel que soit son statut».
Il ne s'agissait que d'une «plaisanterie»
Selon elle, l'employée a «reconnu la gravité de ses propos déplacés en présence de la directrice adjointe du Printemps et a fait part de ses excuses». «Les faits en sont restés là», insiste Mme Morano, en précisant que le licenciement de la vendeuse relève de la seule appréciation et de la seule responsabilité de son employeur», avec lequel elle n'a eu «aucun contact».
De son côté, la vendeuse, prénommée Albane, a indiqué qu'il ne s'agissait que d'une «plaisanterie» à propos du garde du corps de Mme Morano, et assure que cette dernière a tenu à signaler l'incident à la direction. «J'étais avec deux collègues, et nous avons trouvé que la présence d'un garde du corps avec Mme Morano était exagérée», a expliqué cette femme de 36 ans. «L'un de mes collègues, de constitution frêle, a plaisanté en affirmant qu'il pouvait mettre le garde du corps par terre en deux minutes. Je lui ai dit que pour cela, il n'y avait qu'une seule solution: qu'il fallait casser la gueule à Mme Morano», a poursuivi la vendeuse.
Selon sa version, la ministre n'aurait entendu que la fin de sa phrase et se serait «énervée». «Je lui ai dit que ça n'était pas contre elle personnellement et que je tenais à mon emploi. Elle m'a répondu: "J'en ai rien à foutre. J'en ai marre qu'à chaque fois que je me promène, on m'injurie"», affirme encore l'employée. 
«Mme Morano a ensuite demandé le numéro du directeur du magasin. Au départ, la responsable de secteur n'a pas voulu le faire. Elle a fini par l'obtenir en répétant: "Je veux des suites, je veux des suites"», ajoute la vendeuse, qui a été convoquée deux jours plus tard par son employeur pour être licenciée.
(L'essentiel Online/AFP)
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