En attendant, les 60 élus ont reçu un questionnaire de l'Alliance des humanistes, athées et agnostiques (AHA). Les questions portaient sur les rapports financiers entre l'État et l'Église, mais aussi sur l'éducation religieuse.
Il en ressort qu'une majorité de députés, toutes couleurs politiques confondues, seraient pour une réforme. Pour Déi Gréng, elle serait «urgente». Selon le DP, il «faut des solutions adéquates à l'évolution de la société».
Les socialistes, eux, se posent la question de l'abolition du financement des salaires et pensions des prêtres par l'État. Seule exception, le CSV. Aucun élu du parti majoritaire n'a envoyé de réponse.
Authors: