Après ses bévues en Italie et à Singapour, quand il avait cassé sa McLaren en voulant dépasser ses rivaux, Hamilton s'est certes repris au Japon et en Corée du Sud, où il a terminé 5e et 2e. Mais le Britannique, qui était leader au terme du GP de Belgique, semble avoir laissé trop de points en route. Les pilotes Red Bull, qui disposent de la meilleure monoplace du plateau, sans contestation possible, ne sont également pas irréprochables. Erreurs, accidents, incidents mécaniques... Vettel et Webber ont tout connu cette saison, comme l'a illustré leur dimanche à Yeongam.
Webber, jusqu'alors considéré comme le métronome du plateau, tant était grande sa capacité à terminer des courses dans les points - à l'exception du GP d'Europe, où il s'était envolé sur la Lotus de Heikki Kovalainen -, a récidivé en Corée du Sud.
«Détermination»
L'Australien, ex-leader du Championnat avec 14 longueurs d'avance sur Alonso, est sorti trop large d'une courbe, a glissé sur un vibreur pour partir en tête-à-queue dans un mur et se faire percuter ensuite par Nico Rosberg (Mercedes). Vettel, lui, a eu la malchance de casser son moteur aux deux tiers de la course alors qu'il se dirigeait vers une victoire facile.
Un cadeau de plus, que le «petit prince des Asturies», impeccable en Corée du Sud, où il a piloté sans commettre le moindre écart, a accepté avec gourmandise. Ses hurlements dans le cockpit une fois franchi le drapeau à damier en disaient long sur sa satisfaction. Mais une fois le casque tombé, Alonso s'est montré bien plus calme. Posé. Prudent. L'heure n'était surtout pas à l'excès de confiance.
«Rien n'a vraiment changé. Tout peut arriver en une course. Si tu ne marques pas, tu perds 25 points sur l'un de tes adversaires principaux. Ici, Mark et Sebastian ont été malchanceux», observe l'Espagnol, qui depuis cinq courses érige la quête du podium et la constance comme «les clefs du Championnat».
Une question de «chance»
Et Fernando Alonso d'invoquer également «la chance». «Nous avons peut-être eu des problèmes pour monter sur le podium dans la première partie de saison à cause du facteur chance. Et maintenant, nous gagnons plus de courses que prévu, également à cause du facteur chance», explique-t-il.
«Surtout restons calmes!» harangue en écho le patron de l'écurie Ferrari, Stefano Domenicali. Après le «fantastique» dimanche coréen, «le plus dur commence», prévient l'Italien: «il reste deux courses. Nous devons les appréhender avec la même féroce détermination». Alonso n'aurait pas dit mieux...
L'essentiel Online avec AFP
Authors: L'essentiel
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